28 novembre 2009
6
28
/11
/novembre
/2009
12:24
A trois semaines de Nöel, c'est de pire en pire !!!
Comment garder le moral et être motivé quand il n'y a plus personne dans ce sacré centre ville.
J'ai des témoignages d'autres fleuristes qui se retrouvent dans une galère sans nom et pourtant rien ne bouge, c'est désespérant.
La mort du petit commerce et des centres villes est prévisible.
Une réunion avec les associations de la ville s'est soldée par le constat que c'est aux commerçants de bouger, de se réunir, de trouver des idées mais qund on voit que même le week end nous n'avons plus de clients....
la semaine environ deux clients par jour, le week end une misère.
Comment prévoir un chiffre d'affaire avec du périssable sachant qu'il faut du choix, de la qualité, que nos prix d'achat augmentent considérablement et que nous avons de moins en moins de clientèle.
Nous arrivons à une situation dramatique et rien ne bouge.
Je suis partagée entre la résignation de voir ma tite boutique agonir et la colère du mutisme sur notre situation et de la non action des institutions qui sont sensés nous épauler.
ha, si , on nous demande de tenir encore deux ans jusqu'à ce que la reprise frémisse, mais nous n'aurons plus de trésorerie à ce train là et nous ne serons plus là.
Que de colère dans mon coeur de voir cette lente agonie !!!
Comment garder le moral et être motivé quand il n'y a plus personne dans ce sacré centre ville.
J'ai des témoignages d'autres fleuristes qui se retrouvent dans une galère sans nom et pourtant rien ne bouge, c'est désespérant.
La mort du petit commerce et des centres villes est prévisible.
Une réunion avec les associations de la ville s'est soldée par le constat que c'est aux commerçants de bouger, de se réunir, de trouver des idées mais qund on voit que même le week end nous n'avons plus de clients....
la semaine environ deux clients par jour, le week end une misère.
Comment prévoir un chiffre d'affaire avec du périssable sachant qu'il faut du choix, de la qualité, que nos prix d'achat augmentent considérablement et que nous avons de moins en moins de clientèle.
Nous arrivons à une situation dramatique et rien ne bouge.
Je suis partagée entre la résignation de voir ma tite boutique agonir et la colère du mutisme sur notre situation et de la non action des institutions qui sont sensés nous épauler.
ha, si , on nous demande de tenir encore deux ans jusqu'à ce que la reprise frémisse, mais nous n'aurons plus de trésorerie à ce train là et nous ne serons plus là.
Que de colère dans mon coeur de voir cette lente agonie !!!