22 octobre 2009
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11:12
Aujourd'hui, rien de va !!!
Jour de marché, zéro vente, petite pluie décourageante et pénétrante, désespérant.
Je ne sais combien de temps je vais tenir à ce rythme, moralement et physiquement, je frise ma barre de tolèrance ou plutôt d'intolérance.
Comment arriver à croire que l'on est arrivé au fond du gouffre?
Chaque semaine qui passe nous montre que la situation peut être pire !!!
Mais comment faire comprendre aux clients et aux municipalités que si nous ne sommes plus là, il n'y aura plus de vie dans les centres villes, que le rôle social que nous avons auprès surtout des personnes âgées qui viennent nous dire bonjour et nous raconter leurs petites vies est très importante, que nous sommes en train de perdre tout en ouvrant nos boutique le matin ?
Nous sommes en train de toucher le fond !!
Comment faire fonctionner son commerce avec deux ou trois clients par jour, l'évidence va être la fermeture ou la vente des fonds de commerce. Et allez vendre une boutique par les temps qui courent !!!
Je suis prise au piège, impossible de vendre, ma conviction et mon entrain fondent comme neige au soleil.
Le souci dans ces cas là, c'est que chaque commerçant est enfermé dans sa bulle ( ne serait ce que par la contrainte d'horaires) et surtout chuuttt, il ne faut pas dire que ça va mal.......
Pour l'instant , il est 17 heures 25, j'ai eu zéro clients ce matin, quatre cet après midi, les rues sont vides et je suis largement en dessous du chiffre d'affaires que je dois réaliser pour m'en sortir.
Le plus rigolo, si je puis dire, c'est que c'est moi qui culpabilise, qui me remet en question en permanence mais je peux faire les pieds au mur dans la vitrine nous servons de décors.
ah, si, on vient me voir pour faire la monnaie pour le parcmètre, me demander une rue, bizarrement alors là les personnes aperçoivent ma boutique......
Jour de marché, zéro vente, petite pluie décourageante et pénétrante, désespérant.
Je ne sais combien de temps je vais tenir à ce rythme, moralement et physiquement, je frise ma barre de tolèrance ou plutôt d'intolérance.
Comment arriver à croire que l'on est arrivé au fond du gouffre?
Chaque semaine qui passe nous montre que la situation peut être pire !!!
Mais comment faire comprendre aux clients et aux municipalités que si nous ne sommes plus là, il n'y aura plus de vie dans les centres villes, que le rôle social que nous avons auprès surtout des personnes âgées qui viennent nous dire bonjour et nous raconter leurs petites vies est très importante, que nous sommes en train de perdre tout en ouvrant nos boutique le matin ?
Nous sommes en train de toucher le fond !!
Comment faire fonctionner son commerce avec deux ou trois clients par jour, l'évidence va être la fermeture ou la vente des fonds de commerce. Et allez vendre une boutique par les temps qui courent !!!
Je suis prise au piège, impossible de vendre, ma conviction et mon entrain fondent comme neige au soleil.
Le souci dans ces cas là, c'est que chaque commerçant est enfermé dans sa bulle ( ne serait ce que par la contrainte d'horaires) et surtout chuuttt, il ne faut pas dire que ça va mal.......
Pour l'instant , il est 17 heures 25, j'ai eu zéro clients ce matin, quatre cet après midi, les rues sont vides et je suis largement en dessous du chiffre d'affaires que je dois réaliser pour m'en sortir.
Le plus rigolo, si je puis dire, c'est que c'est moi qui culpabilise, qui me remet en question en permanence mais je peux faire les pieds au mur dans la vitrine nous servons de décors.
ah, si, on vient me voir pour faire la monnaie pour le parcmètre, me demander une rue, bizarrement alors là les personnes aperçoivent ma boutique......